Cor Bernard MOULIN
Bernard Moulin a fait ses études musicales au Conservatoire de Genève dans la classe de cor de Lawrence FOWLER et dans la classe de musique de chambre de Roger BIRSTINGL. Cor Solo de l’orchestre du Collegium Academicum de Genève (de 1980 à 1989) et membre de l’orchestre des Pays de Savoie (1984 à 1990), Bernard Moulin se passionne pour la musique de chambre. En 1982 il obtient en formation de quintette à vents, le Premier Prix du Concours International de Musique de Chambre de Martigny (Suisse).
Dès 1984, ses activités de soliste et de musiciens de chambre lui permettent de se produire sur les ondes de la radio et télévision Française et Suisse Romande, dans les grandes capitales européennes telles que Paris (salle Gaveau), Lyon (auditorium Maurice Ravel), Genève (Victoria Hall), Rome, Florence, Varsovie, Cracovie, Budapest…
En juin 1989 il est engagé comme soliste pour une tournée au Japon, accompagné par l’orchestre philharmonique de Nagoya sous la direction de Moshe ATZMON, en juillet de la même année pour une tournée européenne avec l’orchestre japonais de la N-H-K des Jeunes, puis pour une série de concerts en France accompagné par l'orchestre Philharmonique de Gdansk sous la direction de Pawel PRIZTOKI et au festival « Jeunes Solistes » d'Antibes accompagné par l'orchestre Alpes Provence Cote d'Azur.
En avril 1990 une tournée en URSS lui permet d’interpréter l’intégrale des concertos pour cor de Mozart, accompagné, à Moscou, par l'orchestre des solistes de Moscou, direction Youri BASHMET. A cette date Bernard MOULIN se consacre à une carrière de soliste et de musicien de chambre.
Bernard MOULIN s’est produit régulièrement avec l’ensemble Italien « Archi di Firenze » avant de fonder en 2008 la « CAMERATA FRANZ SCHUBERT ».
Presse
« …Un artiste manifestement doué d’une technique d’autant plus impressionnante que le cor est un instrument réputé ingrat, sa musicalité n’en a que plus de prix … »
Dauphiné Libéré.
« …Le concerto pour cor en Mib de Mozart confirme cette impression, Bernard Moulin joue du cor en musicien. Sa sonorité s’accorde à merveille avec celles des violons… »
Jean CAU, Les Echos du Touquet.
« …Trio de Brahms que Bernard Moulin interprète avec une admirable musicalité faisant littéralement chanter un instrument dont ce n’est pas toujours le propre… »
Michel CAUSSADE, Nice Matin